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Programmes de 1er cycle

Les programmes de 1er cycle en études classiques offerts à l'Université de Montréal explorent toute la richesse des sociétés de la Grèce et de la Rome antiques : leurs modes de vie, leurs langues, leurs structures ainsi que leur déploiement dans le bassin méditerranéen, et au-delà.

Du baccalauréat aux modules, en passant par les bidisciplinaires, les programmes du Centre d'études classiques donnent accès à une gamme complète de cours qui permettent d'accorder, selon le degré d'intérêt, l'apprentissage des langues latine et grecque aux autres sphères des d'études classiques :

  • Histoire
  • Littérature
  • Archéologie
  • Philosophie, etc.

Les programmes de 1er cycle sont pourvus de structures bien établies qui enrichissent les apprentissages :

Perspectives d’emploi

À la différence des programmes de 1er cycle de certains départements ou écoles, ceux du Centre d'études classiques ne débouchent pas directement sur un métier prédéterminé. Le diplômé de 1ercycle en études classiques pourra, par exemple, aspirer à intégrer comme assistant une équipe d'archéologues ou à travailler comme recherchiste dans les médias ou les musées.

De manière générale, l'accès à un poste spécialisé dans le domaine des études classiques nécessite une formation complémentaire ou une maîtrise. Il s'agit d'un cheminement que suivent plusieurs bacheliers. En outre, les diplômes de 2e et 3e cycles peuvent donner accès à l'enseignement collégial et universitaire.

Les différents programmes en études classiques peuvent se marier avantageusement à d'autres diplômes universitaires de disciplines connexes, en complément ou intégrés à un baccalauréat par cumul de programmes, en philosophie, en histoire, en études italiennes ou en études néo-helléniques,ou en histoire de l'art.

Selon la plus récente enquête du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie, bien que 32 % des bacheliers en études classiques interrogés occupaient un poste en lien direct avec leur sujet d'étude, le taux de chômage affiché par ceux-ci était de seulement 11%. La même enquête confirme également une augmentation marquée de la proximité emploi-études chez les titulaires de maîtrise.