Expert en : Histoire sociale
RASCHLE, Christian
Directeur, Professeur agrégé
- Rome ancienne
- Antiquité tardive
- Empire romain
- Empire et impérialisme
- Christianisme
- Culture
- Numismatique
- Épigraphie grecque et latine
- Histoire comparée
- Histoire des idées
- Histoire sociale
- Historiographie
- Relations internationales
- Antiquité
J’enseigne l’histoire romaine, les sciences dites auxiliaires (épigraphie, numismatique et littérature) et les cours de latin au niveau avancé au sein du Centre d’études classiques (détaché à 50%) et au Département d’histoire. Mon champ de recherche principal porte sur l’histoire de l’empire romain, en particuliers la période de l’empire tardif ( 192-565). J’y diviserai mes activités de recherche en trois catégories.
- Mon intérêt principal porte sur l’histoire de l’administration et du système politique de l’empire romain, notamment la réorganisation des provinces de l’empire romain tardif .
- Je consacre un deuxième volet de mes recherches à des thèmes d’histoire culturelle et des mentalités sous l’empire romain tardif. Cet intérêt découle directement de mon intérêt principal, parce que j’ai été souvent confronté à des sources littéraires pour l’histoire administrative de l’empire, dont il fallait tout d’abord comprendre l’arrière-plan culturel pour mieux saisir les opinions exprimées face aux changements administratifs. Mon intérêt dans ces recherches porte particulièrement sur les auteurs latins et grecs qui s’expriment sur des faits politiques sans qu’ils soient classifiés dans la catégorie “historiographie”, tels que les sermons prononcés par les pères de l’Église Ambroise et Jean Chrysostome, les discours panégyriques de Thémistios, ou la poésie épique.
- Le troisième volet est dédié à l’histoire des sciences de l’Antiquité et des thèmes historiographiques liés à elles soit à des personnages de l’Antiquité (Constantin le Grand) ou des écrits des auteurs anciens (Tite-Live et Ammien Marcellin).
Mes étudiants au niveau de M.A. et de Ph.D. se sont dédiés pour la plupart aux deux premiers champs de recherche, mais pas exclusivement. Peu importe le sujet de recherche, je préconise une bonne formation dans les langues anciennes (latin et grec), les langues modernes (anglais, allemand, italien et espagnol selon le sujet) et dans les sciences dites auxiliaires (littérature, épigraphie et numismatique) comme éléments clés pour une réussite de toute sorte de recherche avancée.